Cet ouvrage, qui enjambe le ruisseau de l’Alaric, présentait des dégradations importantes et menaçait de s’effondrer. Il menaçait la sécurité des personnes et pouvait entraîner des inondations à l’aval d’où la nécessité d’une intervention urgente.
L’étude préliminaire a porté notamment sur une culée minée par l’érosion. Elle a nécessité les déclarations d’usage à la préfecture, aux services de la police de l’eau et de l’ONEMA comme tous les travaux sur les ruisseaux piscicoles.
L’entreprise a réalisé les travaux sur un mois et demi environ. Les berges du ruisseau ont également été renforcées, en amont et en aval du pont nouvellement construit afin d’en assurer la stabilité.
Cet ouvrage utilisé pour le franchissement routier et d’engins agricoles a été rendu aux utilisateurs après la réception des travaux.
Le montant de ces travaux s’est élevé à 120 000 euros.
